• Je fais un don
  • LumiTex
vendredi, 9 mai, 2025
  • Connexion
  • S'inscrire
Le Blog de Thélyson Orélien
Publicité
  • Accueil
  • À propos
  • Chroniques
    • Économie
    • Politique
    • Écologie
  • Culture
    • Notes de lecture (NDL)
    • Fiction
    • Poésie
  • Mode de vie
    • Mode de vie
    • Migration
    • Voyage
  • TempsLibre
    • Cinéma
    • Musique
    • Sport
  • Reportage
  • Chroniqueur Invité
  • Contact
No Result
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • À propos
  • Chroniques
    • Économie
    • Politique
    • Écologie
  • Culture
    • Notes de lecture (NDL)
    • Fiction
    • Poésie
  • Mode de vie
    • Mode de vie
    • Migration
    • Voyage
  • TempsLibre
    • Cinéma
    • Musique
    • Sport
  • Reportage
  • Chroniqueur Invité
  • Contact
No Result
Voir tous les résultats
Le Blog de Thélyson Orélien
No Result
Voir tous les résultats
Accueil Littérature

Et moi, je préfère les chats…

Thélyson Orélien Par Thélyson Orélien
24 avril 2014
dans Littérature
Temps de lecture: 3 minutes
297
A A
chien-chat
180
PARTAGES
1.5k
VUES
Share on FacebookShare on TwitterWhatsAppE-mail

Ce n’est pas que je n’apprécie pas les chiens. Au contraire, je les trouve charmants, aimables, et remarquablement altruistes. Ils semblent prédisposés à réagir avec une sensibilité immédiate à nos signaux émotionnels, capables même d’une empathie qui mérite tout l’amour que l’être humain peut offrir. Et pourtant, malgré toutes ces qualités, je préfère les chats.

Articlesconnexes

Des livres contre les algorithmes : l’ultime résistance humaine

Des livres contre les algorithmes : l’ultime résistance humaine

Les livres sont morts… Vive les livres !

Les livres sont morts… Vive les livres !

Carrié Paultre : l’architecte oublié de la littérature créole haïtienne

Carrié Paultre : l’architecte oublié de la littérature créole haïtienne

De l’intime à l’universel : le génie littéraire et l’héritage intemporel de Dany Laferrière

De l’intime à l’universel : le génie littéraire et l’héritage intemporel de Dany Laferrière

La raison fondamentale de ce choix réside dans une valeur que je chéris par-dessus tout dans toute relation : l’équilibre. Je ne parle pas ici d’une relation sacrificielle, où un dévouement à sens unique nourrirait une illusion de symétrie parfaite, mais d’un lien véritablement réciproque. Une interaction où chaque partie s’investit avec la même intensité, où l’affection, le respect, et l’attention sont mutuels.

Il est indéniable que l’amitié avec un chien est plus accessible. Leur affection inconditionnelle est un don spontané, offert sans aucune exigence préalable. Pour qu’un chien vous aime, il ne vous demande rien d’autre que de l’intégrer dans votre vie, et en retour, il vous offrira une source inépuisable de dévotion. Peu importe que vous l’ignoriez, l’enfermiez, ou même que vous le traitiez mal : un chien restera fidèle, remuant la queue, toujours heureux de vous revoir. Pour beaucoup, cette loyauté indéfectible est la plus grande vertu des chiens. Pour moi, toutefois, c’est aussi leur grande faiblesse.

Je ne souhaite pas ici dresser un réquisitoire contre les chiens ou les affubler d’adjectifs péjoratifs. Je les trouve adorables, et ils sont souvent bien plus dignes de confiance que bon nombre d’êtres humains. Leur présence apporte une affection incomparable, particulièrement précieuse pour ceux qui recherchent une émotion immédiate et inconditionnelle. Mais encore une fois, je préfère les chats.

Avec un chat, la relation ne peut jamais être décrite comme celle d’un maître et de son animal. Un chat vous force à réévaluer votre approche, à construire une relation sur des bases différentes. Son amitié se gagne, elle ne se donne pas aveuglément, et c’est précisément cette rareté qui la rend si précieuse à mes yeux.

Publicité

Le processus par lequel cette relation se développe est fascinant. Il est lent, progressif, et nécessite une patience attentive. Si l’harmonie est possible, alors des progrès subtils mais significatifs se dessinent. D’abord, vous l’observez; puis, si vous avez su vous montrer digne de sa confiance, il s’approchera de vous, courbant son dos et levant la queue pour vous saluer à sa manière. Si vous restez calme et réceptif, il finira par sauter sur vos genoux, comme par un acte de magie, et se laissera caresser tout en ronronnant doucement.

La nature inconditionnelle de l’amour d’un chien, qui donne sans jamais rien attendre en retour, est pour moi un signe de déséquilibre. J’aime autant donner que recevoir, et j’éprouve une profonde satisfaction à savoir que ce qui m’est offert est le fruit d’un mérite partagé.

Il y a quelque chose de particulièrement gratifiant dans le fait de voir ma compagne rentrer chez elle, accueillie par ses deux chats, « Ti-gris » et « Tite-chouette », avec une affection sincère, joyeuse, et pleinement acquise. C’est dans ces moments, entouré de cette atmosphère de tendresse tranquille, que je trouve l’inspiration pour écrire ces lignes. Ti-gris ronronne sur mes genoux, tandis que Tite-chouette dort paisiblement à mes pieds nus, et je me sens profondément en paix, reconnaissant de cette communion silencieuse et équilibrée qui me lie à ces êtres si particuliers.

Soutenez le blog

En contribuant aux frais du site et à son indépendance… parce que même les mots ont besoin d’un toit ! Merci pour votre soutien, vous êtes formidables (et un peu nos mécènes modernes) !

Faire un don
Publicité
Publicité
Partager72Tweet45SendSend
Publicité
Article précédent

Gabriel García Márquez, un vrai immortel !

Article suivant

À la découverte de la Côte d’Ivoire : de Grand Bassam à Abidjan

Thélyson Orélien

Thélyson Orélien

Écrivain, chroniqueur et journaliste indépendant. Passionné par l'écriture, j'explore à travers ce blog divers sujets allant des chroniques et réflexions aux fictions et essais. Mon objectif est de partager des perspectives nouvelles, d'analyser des enjeux contemporains et de stimuler la pensée critique.

Articles connexes

Des livres contre les algorithmes : l’ultime résistance humaine

Des livres contre les algorithmes : l’ultime résistance humaine

Les livres sont morts… Vive les livres !

Les livres sont morts… Vive les livres !

Carrié Paultre : l’architecte oublié de la littérature créole haïtienne

Carrié Paultre : l’architecte oublié de la littérature créole haïtienne

De l’intime à l’universel : le génie littéraire et l’héritage intemporel de Dany Laferrière

De l’intime à l’universel : le génie littéraire et l’héritage intemporel de Dany Laferrière

IMG_9096

L’amertume du rejet ou les sentiers ardus vers la gloire littéraire

v-1-1024x492-1

Renaissance littéraire : La littérature québécoise séduit la scène mondiale

Article suivant
10293623_10203869966773898_2565313362782190509_o

À la découverte de la Côte d’Ivoire : de Grand Bassam à Abidjan


Publicité

Tendances quotidiennes

  • « 4 Kampé » : l’histoire cachée derrière le tube planétaire de Joé Dwèt Filé

    « 4 Kampé » : l’histoire cachée derrière le tube planétaire de Joé Dwèt Filé

    234 Partages
    Partager 94 Tweet 59
  • « 4 Kampé », « Je vais », « Ti Tass » : qui a vraiment les droits sur le tube viral ?

    186 Partages
    Partager 74 Tweet 47
  • COP29 : Gonaïves, le pilier vert d’Haïti

    180 Partages
    Partager 72 Tweet 45
  • « Toute la misère du monde » : le Québec mérite mieux que ce discours

    189 Partages
    Partager 76 Tweet 47
  • Le dernier battement avant l’urne

    181 Partages
    Partager 72 Tweet 45
  • Borges, le rêveur d’éternités

    182 Partages
    Partager 73 Tweet 46
  • Francisco, l’immigrant devenu pontife du monde

    182 Partages
    Partager 73 Tweet 46
Publicité
  • Tendance(s)
  • Commentaires
  • Plus récent
« 4 Kampé » : l’histoire cachée derrière le tube planétaire de Joé Dwèt Filé

« 4 Kampé » : l’histoire cachée derrière le tube planétaire de Joé Dwèt Filé

Le mirage du migrant opportuniste

Le mirage du migrant opportuniste

Port-au-Prince, laboratoire national du « Kalé Wès » perpétuel

Port-au-Prince, laboratoire national du « Kalé Wès » perpétuel

Cheffe Leen Excellent d'Haïti. • ©RS

Cheffe Leen inscrit Haïti au Guinness des records après 9 jours de cuisine ininterrompue

« Toute la misère du monde » : le Québec mérite mieux que ce discours

« Toute la misère du monde » : le Québec mérite mieux que ce discours

10293623_10203869966773898_2565313362782190509_o

À la découverte de la Côte d’Ivoire : de Grand Bassam à Abidjan

bride-5521283_1280

8 Mars : La flamme de Gislène

Le-singe-symbole-dinsulte11

Non, les Noirs ne sont pas des cons…

pexels-photo-2305212

Le panafricanisme dans la culture haïtienne

49500-barack-obama-michaelle-jean1

Michaëlle Jean n’a pas pour mission de représenter Haïti

4 Kampé

« 4 Kampé », « Je vais », « Ti Tass » : qui a vraiment les droits sur le tube viral ?

Le dernier battement avant l'urne

Le dernier battement avant l’urne

Borges, le rêveur d’éternités

Borges, le rêveur d’éternités

Francisco, l'immigrant devenu pontife du monde

Francisco, l’immigrant devenu pontife du monde

Le pouvoir des petites habitudes

Le pouvoir des petites habitudes

Publicité
Publicité
  • Politique de confidentialité
  • Termes et Conditions
  • Les commentaires
  • Les Cookies
  • Publicités
  • Nous soutenir
  • LumiTex
  • Contact
contact@thelysonorelien.com

© 2025 : LBTO - Le blog de Thelyson Orelien - Tous droits réservés

Bienvenue de retour !

OU

Se connecter au compte

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Créer un nouveau compte !

OU

Remplissez les champs ci-dessous pour vous inscrire

Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe.

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre adresse e-mail pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
No Result
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • À propos
  • Chroniques
    • Économie
    • Politique
    • Écologie
  • Culture
    • Notes de lecture (NDL)
    • Fiction
    • Poésie
  • Mode de vie
    • Mode de vie
    • Migration
    • Voyage
  • TempsLibre
    • Cinéma
    • Musique
    • Sport
  • Reportage
  • Chroniqueur Invité
  • Contact

© 2025 : LBTO - Le blog de Thelyson Orelien - Tous droits réservés

Notifications