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Accueil Chroniques

À la découverte de la Côte d’Ivoire : de Grand Bassam à Abidjan

Thélyson Orélien Par Thélyson Orélien
11 mai 2014
dans Chroniques
Temps de lecture: 8 minutes
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Enfin, Internet fonctionne à peu près correctement cette fois-ci. Mais pour combien de temps encore ? Nul ne le sait. Je profite de cette opportunité fugace offerte par la compagnie MTN pour coucher ces quelques mots. Emmener des blogueurs, armés de leurs ordinateurs portables, dans un endroit où chaque clic se traduit par une attente interminable de cinq à dix minutes, parfois plus, avant qu’une page ne daigne s’ouvrir, c’est un peu comme demander à un peintre de réaliser une fresque sans peinture ni pinceaux. Une épreuve de patience, d’endurance, presque une leçon de vie.

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La mort modeste de l’écrivain

J’ai été convié au troisième voyage de formation de Mondoblog et de l’Atelier des Médias de Radio France Internationale (RFI) à Abidjan, une invitation qui m’a honoré en tant que l’un des 67 meilleurs blogueurs francophones du monde, représentant 27 pays différents, de l’Afrique à l’Europe, en passant par l’Asie, les Amériques et l’Océanie. Ce voyage a été une véritable odyssée intellectuelle, une plongée dans un océan d’idées, d’échanges, de rencontres, le tout ponctué par des instants de convivialité sur les plages dorées et dans les clubs de vacances. À la fin de cette aventure, je suis ressorti profondément enrichi, non seulement sur le plan professionnel, mais aussi personnel.

Pour ceux qui ne connaissent pas encore le projet Mondoblog, son but est de promouvoir une blogosphère francophone internationale, vivante et dynamique, en contribuant à la création de contenu de qualité sur Internet. Les blogueurs qui participent à ce projet ne sont pas de simples auteurs ; ils sont les porte-voix d’une jeunesse connectée, engagée, dont les écrits sont lus, commentés, et souvent partagés aux quatre coins du monde. Ces blogueurs sont devenus des références, invités à des conférences, et plusieurs d’entre eux ont même trouvé un emploi grâce à leur expertise numérique.

De Montréal à Abidjan en passant par Casablanca

Mon périple vers la Côte d’Ivoire a commencé avec une pointe d’appréhension, ce pays ayant été récemment marqué par des conflits violents. Les médias internationaux n’ont relayé que des nouvelles sombres au sujet de la crise ivoirienne, ce qui a alimenté mes inquiétudes. Cependant, j’ai choisi de me faire ma propre opinion, convaincu que l’exploration de nouveaux horizons est toujours enrichissante.

Le 29 avril, j’ai pris mon envol en direction d’Abidjan, avec une escale à Casablanca. Le vol fut loin d’être paisible, entouré de bébés pleurant et de deux adolescents indisciplinés qui n’ont cessé de malmener le dossier de mon siège. J’ai fini par changer de place, cherchant un peu de répit. À mon arrivée au Maroc, une longue escale m’attendait. Un policier, avec un sens de l’hospitalité certain, m’a conseillé de visiter Casablanca en prenant le train. Ce fut une suggestion que j’ai suivie avec enthousiasme.

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Le premier train m’a conduit au cœur de Casablanca, la capitale économique du Maroc, une ville magnifique en pleine effervescence, figurant parmi les 77 villes candidates pour être classées parmi les sept nouvelles merveilles urbaines du monde, aux côtés de Paris, New York, Montréal, ou encore Singapour. Le policier avait vu juste : à partir de ce moment, mon voyage a pris une tournure véritablement captivante.

J’ai finalement atterri à Abidjan dans la nuit du 1er mai, aux alentours d’une heure du matin. La chaleur étouffante de la ville m’a immédiatement enveloppé. Seydou, le chauffeur, m’attendait patiemment à l’aéroport pour m’emmener à Grand-Bassam. Ce dernier, en plus de ses talents de conducteur, s’est avéré être un guide précieux, me prodiguant des conseils sur la sécurité et partageant avec moi des bribes de la mémoire collective de son pays, jouant ainsi le rôle d’un protecteur vigilant tout au long de mon séjour.

Je me suis immergé dans les odeurs, les sons, les couleurs et les saveurs d’Abidjan, une ville qui ne dort jamais, où chaque coin de rue raconte une histoire. Abidjan est bien plus qu’une simple métropole ; elle est le carrefour culturel de l’Afrique de l’Ouest, la ville la plus peuplée de l’Afrique francophone, un centre névralgique qui a connu une expansion économique fulgurante, au point d’être surnommée “le Paris de l’Afrique de l’Ouest”, comme me l’a si bien raconté Seydou.

Selon une légende locale, le nom d’Abidjan serait né d’un quiproquo entre un vieil homme, portant une brassée de branches, et un explorateur européen égaré. Le vieil homme, pris de panique, aurait crié “Ntchan mbidjan”, signifiant en Ebrié “Je viens de couper des branches”. L’explorateur aurait alors mal interprété ces mots, pensant qu’ils désignaient le nom du lieu : Abidjan. Cette histoire pittoresque, rapportée par la revue Jeune Afrique, ajoute une touche de mystère à cette ville fascinante.

Immersion à Grand-Bassam, patrimoine mondial de l’UNESCO

Nous n’avons peut-être qu’une connaissance superficielle d’Abidjan, car la majorité du temps, les Mondoblogueurs l’ont passée à Grand-Bassam, l’ancienne capitale de la Côte d’Ivoire, aujourd’hui inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO. Notre séjour à l’Hôtel Tereso, bien que modeste, offrait une vue imprenable sur l’Océan Atlantique, une vue à couper le souffle qui compensait largement les quelques inconforts matériels. C’est là que se sont déroulées les sessions de formation, du 2 au 12 mai, en journalisme et en outils numériques. Ces ateliers intensifs étaient animés par huit formateurs, parmi lesquels des journalistes chevronnés de RFI, de France 24, ainsi que des experts de Reporters sans Frontières.

Les nuits à Grand-Bassam avaient une saveur particulière. Le climat nocturne y est agréablement doux, et les options de divertissement ne manquent pas. Les Mondoblogueurs ont découvert les night-clubs locaux comme No Limit et Épilogue, ainsi que les maquis, ces bars dansants où l’on peut déguster une cuisine de rue savoureuse. Les discothèques, à l’instar de l’esprit généreux ivoirien, ne facturent pas de droit d’entrée ; il suffit de commander une bière à 1000 Francs CFA après quelques danses endiablées sur le rythme du Coupé-Décalé pour faire partie de la fête.

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Nous avons effectué deux allers-retours entre Grand-Bassam et Abidjan. Le premier, pour l’enregistrement de MondoRadio, avec une sélection de blogueurs, au Latrille Events, l’endroit où RFI célébrait ses 20 ans de diffusion en Côte d’Ivoire. Le second, pour visiter l’Assemblée nationale, l’Office National du Tourisme, qui nous a honorés en nous désignant comme Ambassadeurs volontaires du tourisme ivoirien, et enfin le quotidien Fraternité Matin. Ce journal, le plus ancien du pays, est bien connu pour son soutien au pouvoir en place, ce qui n’est pas sans poser des questions sur sa capacité à demeurer une source d’information véritablement indépendante. Plus troublant encore, Fraternité Matin est le seul journal subventionné par l’État, équipé d’imprimeries ultramodernes, lesquelles servent également à produire la quasi-totalité des autres journaux du pays. Cette situation soulève d’évidents problèmes pour la liberté de la presse en Côte d’Ivoire.

Exploration d’Abidjan et de ses trésors cachés

Mon séjour en Côte d’Ivoire ne pouvait être complet sans une immersion dans le quotidien d’Abidjan. J’ai eu l’occasion de découvrir le Plateau, le quartier d’affaires, véritable cœur économique de la ville, où s’élèvent de nombreux gratte-ciels modernes. Mais Abidjan ne se résume pas à son aspect urbain. Les nombreuses lagunes qui entourent la ville offrent un contraste saisissant, des havres de paix loin de l’effervescence citadine, à l’image de Grand-Bassam.

La musique ivoirienne, véritable reflet de la diversité culturelle du pays, est tout aussi captivante. Elle se distingue par l’usage des tambours et des polyrythmies complexes, un mariage unique de sons qui raconte l’histoire de cette nation. Des artistes tels que Tiken Jah Fakoly ont su exporter cette richesse sur la scène internationale, faisant résonner les rythmes de la Côte d’Ivoire aux quatre coins du globe.

Côté gastronomique, l’Aloko est une spécialité à ne pas manquer : des bananes plantains mûres, frites avec une touche d’huile de palme épicée, accompagnées d’oignons cuits à la vapeur et de piment. Ce plat simple mais savoureux peut être dégusté auprès des vendeurs de rue ou dans les Maquis, souvent servi avec de la viande ou du poisson, pour un repas complet.

Abidjan, surnommée la Perle des Lagunes, est bordée de plages magnifiques, où des maisons et hôtels accueillants se sont installés le long des côtes. Les villes côtières avoisinantes, telles que Grand-Bassam, ont su tirer parti de ces paysages enchanteurs pour développer des stations balnéaires luxueuses. Cependant, il convient de rappeler que les courants marins, bien que parfois tentants, peuvent s’avérer puissants et imprévisibles.

Une culture vibrante et une identité forte

La Côte d’Ivoire est un pays où la culture se vit au quotidien. Dans les rues d’Abidjan, les tissus colorés racontent l’histoire des peuples, les motifs et les couleurs variant selon les événements, que ce soit un mariage, une fête ou un deuil. Ici, l’appartenance ethnique prime souvent sur le sentiment national, chaque communauté exprimant son identité à travers des traditions vestimentaires qui lui sont propres.

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Je tiens à exprimer ma gratitude envers les organisateurs et animateurs de Mondoblog et de l’Atelier des Médias pour cette opportunité inestimable. Un merci particulier à Ziad Maalouf, Simon Decreuze, Raphaëlle Constant, Dylette Sadaoui, Manon Mella et au fondateur du projet, Philippe Couve, pour avoir donné vie à ce magnifique projet du “Tout-Monde”, épaulé par Cédric Kalonji.

Un remerciement spécial également à Raphël Moreau de l’OIF, ainsi qu’à Chantal du blog KongoYetu, une Congolaise d’une élégance rare qui me rappelle l’une de mes grandes sœurs, et à Marek, dont la fraternité m’a profondément touché.

Je ne saurais oublier mes deux frères d’outre-Atlantique, Debellahi et Adebayo, “deux Mondoblogueurs matures”, qui m’ont offert le privilège de porter pour la première fois un boubou en Afrique. Ce geste, d’apparence simple, résonne en moi comme un symbole d’appartenance, une passerelle entre nos cultures respectives. Ces deux hommes, ce Mauritanien et ce Béninois, font désormais partie de mon héritage personnel.

Visiter Abidjan a été une expérience marquante, malgré quelques moments de malaise. Il est difficile de croire que cette ville lumineuse se trouve dans un pays qui, il y a quelques années à peine, était déchiré par une guerre civile entre deux candidats revendiquant chacun la victoire à l’élection présidentielle de 2010. Grâce à l’intervention de la Force Licorne de l’Armée française, en soutien aux forces rebelles dirigées par Guillaume Soro, alors chef des forces rebelles, Laurent Gbagbo a été délogé, permettant à Alassane Ouattara de prendre la présidence.

J’ai eu l’occasion de visiter une dizaine de pays auparavant, mais ce voyage en Côte d’Ivoire revêt pour moi une signification particulière. Abidjan, surnommée à juste titre “la Ville lumière de l’Afrique de l’Ouest”, a laissé en moi une empreinte indélébile.

En conclusion, j’espère de tout cœur que l’aventure Mondoblog continuera de prospérer, qu’elle s’étendra à d’autres régions du monde, et que les frontières s’ouvriront encore davantage, permettant à cette belle initiative de rayonner encore plus fort.

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Thélyson Orélien

Écrivain, chroniqueur et journaliste indépendant. Passionné par l'écriture, j'explore à travers ce blog divers sujets allant des chroniques et réflexions aux fictions et essais. Mon objectif est de partager des perspectives nouvelles, d'analyser des enjeux contemporains et de stimuler la pensée critique.

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