quelquefois
la démarche du silence
n’est qu’une corvée d’étreintes
qui se fane,
dans l’écho des heures sourdes,
quand les mots refusent de naître
et que les soupirs se font pierres.
l’attente devient murmure
étouffé
sous le poids des regards absents,
et l’ombre des désirs s’efface
dans l’oubli des gestes.
quelquefois,
les étoiles se couchent trop tôt,
et la nuit, complice muette,
n’offre plus de rêves à bâtir
que des souvenirs éparpillés.
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