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Accueil Chroniqueur Invité

Des idoles, le privilège blanc et le rire infâme

Lorvens Aurélien (Chroniqueur invité) Par Lorvens Aurélien (Chroniqueur invité)
30 janvier 2025
dans Chroniqueur Invité, Politique
Temps de lecture: 7 minutes
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Je vois que l’idée de faire rire amène les gens à partager des images de la Statue de la Liberté, l’imaginant errante dans les rues de New York, traînant deux valises sous le bras. Pour parodier H. Bergson, je répète en pensant à l’image que “rien ne désarme comme le rire”. L’image est belle. Certes, la blague veut être ironique, mais le rire enjoint suppose un rictus avec des traits, des rides qui ne peuvent dire ni la solidarité ni le sublime. On peut rire mal quand on ne prend pas en compte le sens de l’histoire. Avoir la Statue de la Liberté dans les rues est comme un acte de générosité, car elle n’est pas forcée de partir ; elle peut y être comme un acte de rébellion, une réponse aux politiques migratoires, qui dit, elle aussi, qu’elle doit partir avant d’être capturée.

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Il arrive que certains lieux, en tombant, dévoilent ce que nous refusions de voir debout. La disparition de l’Hôtel Oloffson n’est pas qu’un fait divers architectural ou un simple incendie de plus dans un pays qui chancelle. C’est un symptôme. Le symptôme d’une époque où la mémoire s’efface plus vite que les braises ne refroidissent, où brûler devient une forme d’expression plus éloquente que construire. Ce n’est pas seulement une maison qui s’effondre : c’est une archive vivante, un théâtre du réel, un espace où s’écrivait à bas bruit l’histoire d’un pays complexe, qui se consume sans que l’on sache encore si c’est par indifférence, vengeance ou abandon.

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C’est un paradoxe pour la Statue de la Liberté car jamais un monument n’a assisté à autant d’injustices du même nom que celui que la Statue de la Liberté dite représentée. S’il faut penser au sens de la blague on dira que même la Statue de la Liberté a peur de ce qui viendra, de ce que le gouvernement oligarque de Trump est train de traire comme seule idéologie des États-Unis: Un pays raciste. En fait, il y a une arrière-pensée dans l’image. On ne rit pas tous de la même chose. Bien sûr, certains rient que l’image, d’autres voient des rieurs d’un réel ou d’un imaginaire déjà présent. Ce que la blague ne dit pas c’est le dispositif discursif pré-établi entre la France et les Etats-Unis, sous le couvert de la race. C’est que mon Oncle Amérique ne l’enverra jamais chez elle, puisqu’elle, étant de France, a le droit à l’errance. De quoi rions-nous au juste ?

Voici dans une certaine mesure une des natures du rire. Le rire dit le bizarre. Le silence du caché: Eux.Tous, le savent. Nous. Tous, faisons rire. Eux. Tous, le savent, elle n’est pas cet “homme de Calcutta”. Eux. Tous le savent. Elle n’est pas une femme immigrante. Nous. Tous, on ignore qu’elle est une femme expatriée. Par conséquent, la Statue de la Liberté ne peut aller ni en Haïti, ni au Mexique, ni en République dominicaine, car son statut d’expatriée l’empêche d’être catégorisée comme immigrante. De quoi rions-nous ? De l’autre qui nous met scène comme celui qui part ou nous qui sommes en train de rire la simulacra d’un groupe, un “Nous” qui partira demain comme d’autres avant nous ?  

À mon sens, la statue, elle peut errer autant qu’elle veut. C’est sa ville. Paris ou New York, c’est pareil. Cela fait partie de son droit. Elle est blanche et française. Et cela change tout. Cette distinction dit déjà qui part et qui reste.

Aussi, disons-nous le rire que l’image produit dit l’infâme d’une brimade sociale. L’idée de la liberté qu’elle garde en elle dit le sublime du privilège blanc et ce qui détermine la statue comme un regard vide de liberté, car elle devait être l’antagonisme de mon Amérique bien pensante, mais elle est le nom qui dit bien ce que l’Amérique connaît bien de la liberté: La ségrégation sociale et le mépris social. 

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Elle, qui n’a jamais eu à prouver qu’elle ne deviendrait pas un fardeau pour l’État. Son exil a été honoré, son arrivée célébrée. Elle est un symbole entre nations puissantes. C’est là aussi que commence l’histoire du privilège blanc. Celle de la complicité dans la paupérisation des autres nations, la consternation des blancs devant un crime qu’il ont ignoré car jusqu’ici c’était arrivé qu’aux nations non-européennes comme Aimé Césaire l’explique dans son “Discours sur le colonialisme.” Elle, elle a séché les larmes de l’après-guerre totale. Celles des expatriés guerre en Ukraine. Ses ports-musées sont le symbole de ce privilège…blanc. 

Que peut-elle parler au nom des peuples qui ont payé pour cette liberté ?

En effet,  cette statue est le symbole du mensonge blanc : la France, après avoir pillé Haïti et imposé une dette d’indépendance qui a saigné l’île pendant plus d’un siècle, offre maintenant un monument à la liberté. Les États-Unis, après avoir maintenu l’esclavage bien après leur propre indépendance, acceptent ce cadeau comme une célébration de leur triomphe démocratique.

La statue est installée à New York comme une sentinelle de l’Atlantique, mais elle ne regarde pas vers Haïti, ni vers l’Afrique, ni vers les Caraïbes. Elle ne se tourne pas vers les peuples qui ont payé le prix du “monde libre”. Son regard est tourné vers l’Europe. Elle ne regarde pas l’Amérique et ses rues. Il faut juste demander aux Noirs de Harlem.

La Statue de la Liberté : le premier modèle de Bartholdi montrait une femme tenant des chaînes brisées. C’était une reconnaissance du combat contre l’oppression raciale. Mais ce message était trop direct, trop accusateur. Les États-Unis venaient à peine de sortir de la guerre de Sécession et n’étaient pas prêts à faire de la liberté des Noirs un élément central de leur identité nationale. On a retiré les chaînes de sa main. Elles existent toujours, paraît-il, cachées sous sa robe. Invisibles, comme l’étaient devenus les affranchis dans l’histoire officielle. Puis, à la fin du XIXe siècle, un autre texte est venu recouvrir la première vérité. Emma Lazarus, une poétesse juive, a écrit sur la statue un nouveau message : “Donnez-moi vos pauvres, vos exténués, qui en rangs pressés aspirent à vivre libres.” (La phrase résonne bien avec ce décret d’État du 14 janvier que Jean. J. Dessalines envoyait comme un message à tous les capitaines de bateaux et au congrès.)

Le symbole a changé : Après la deuxième guerre mondiale, elle n’est plus une figure de l’émancipation des esclaves. Elle devient une icône de l’immigration. Mais pas n’importe quelle immigration. Elle ouvre ses bras à tout homme. mais l’homme doit être d’abord et uniquement l’homme-blanc. Elle s’adresse aux Irlandais fuyant la famine, aux Italiens chassés par la pauvreté, aux Juifs tentant d’échapper aux pogroms. Elle devient un espoir pour ceux qui fuient la misère de l’Europe, mais elle ne parle pas aux Noirs du Sud qui fuient la ségrégation raciale. 

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La Statue de la Liberté a longtemps marché dans les rues de New York sans voir Jim Crow. Pourquoi pensons-nous maintenant qu’elle est le symbole des sans papiers ? L’Amérique, qui s’est proclamée libératrice des Juifs d’Europe, a pourtant continué à priver les Noirs américains de leurs droits les plus fondamentaux. Elle a lutté contre Hitler tout en maintenant un système où les Noirs n’avaient pas accès aux mêmes écoles, aux mêmes transports, aux mêmes emplois que les Blancs. Pourquoi pensons-nous qu’elle partira maintenant en signe de solidarité avec “ces Noirs dont les pères sont en Afrique ?” Mais, elle était là quand l’Amérique dénonçait les ghettos de Varsovie tout en créant ses propres ghettos dans le Bronx et à Chicago. La Statue de la Liberté est le symbole d’une solidarité entre les blancs. Elle est une promesse sélective. On peut revoir son histoire. On reconnaît l’artiste comment ? Et bien voilà. Elle est l’artisan d’un mensonge que les deux pays n’ont pas su reconnaître comme un mentir-vrai.

L’Amérique a toujours su raconter une belle histoire d’accueil, mais seulement pour ceux qu’elle voulait bien accepter. Ceux qui viennent d’Ukraine par exemple pour dire le dernier en ancre. La statue n’a t-elle pas détourné sa tête pour les recevoir. A t-elle marché pour les recevoir ? Pourquoi marchera-t-elle aujourd’hui dans les rues si ce n’est pas pour mieux nous chasser ? Disons bien, elle a tout vu. Mais elle ne regarde pas vers l’Amérique latine, où les migrants risquent leur vie pour franchir la frontière. Elle ne regarde pas vers les bateaux de fortune qui coulent en Méditerranée. Non, elle marchera pas pour nous suivre mais pour nous pourchasser. 

Il n’y a pas de murs pour empêcher les expatriés français ou canadiens d’entrer. Les murs sont pour les Latinos, les Haïtiens, les Africains. 

Les vrais exilés, eux, sont invisibles dans l’histoire. Ils n’ont pas de statue pour les célébrer. Ils n’ont pas de socle, pas de vers gravés dans la pierre pour leur promettre refuge. Ils n’ont que des murs qui se dressent devant eux, des visas refusés, des lois qui changent selon l’humeur politique. Ils n’ont que des États qui continuent de choisir qui appartient et qui doit être rejeté. Alors non, la blague sur la Statue de la Liberté qui part est un rictus… Ce n’est pas elle qui part. C’est nous qu’on exile, qu’on expulse, qu’on accuse d’être de trop. Ceux qui croyaient qu’ils étaient des blancs comme les Latinos-dominicains, appartenir à la race des blancs, mais qui, un jour, comme depuis le 20 Janvier , comprennent que l’appartenance n’est pas une idée prétendue, mais un privilège de naissance née selon le placement des pays et le lieu d’origine. 

En attendant, laissons la statue où elle est, comme une promesse de liberté qui n’honore rien. Pourquoi pensons-nous qu’elle marchera pour des Noirs, des Latinos, ceux dont les pères furent des esclaves, ceux dont les pères sont perdus dans les limbes des colons ? Elle était là. Elle a tout vu. Elle n’a pas marché. Ce n’est pas pour demain la veille qu’elle marchera… En fait, pas avec nous. Nous, les Noirs. Elle ne pouvait voir Harlem, pourquoi pensons-nous d’un coup qu’elle veut voir les “shit holes” comme les nôtres comme si la brimade sociale pensée du rire ou de l’image ne prédicte pas la fin du rire comique ? 

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Lorvens Aurélien (Chroniqueur invité)

Lorvens Aurélien (Chroniqueur invité)

Lovens Aurélien a étudié la sociologie et l’anthropologie à l’Université d’État d’Haïti, la littérature comparée et la création littéraire au sein du City University of New York (CUNY), et poursuit actuellement des études supérieures en linguistique appliquée et en littérature à Columbia University, avec une spécialisation orientée vers l’éducation bilingue.

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