Le pays dans la gorge. À celui, à celle qui porte le pays non sur son passeport, mais dans sa gorge, là où les mots s’étranglent en tentant de nommer l’indicible, là où l’amour, la colère et la mémoire tissent une langue plus vaste que la douleur, là où survivre devient un art, et parler, un acte de résistance.
Port-au-Prince est un cimetière en mouvement
Port-au-Prince n’est plus seulement une ville, c’est un cimetière en mouvement, un théâtre où l’insécurité joue le premier rôle. Dans cette fresque de balles, de sang et de cendres, le quotidien se meurt, et l’espoir vacille sous le poids d’une organisation méthodique du chaos. Cette prose poétique est un cri, un miroir tendu à une réalité insoutenable, où chaque souffle est une résistance, et chaque silence, une trahison. Que le monde regarde, écoute, et enfin pleure avec Haïti.
L’amour dans les failles du silence
Un poème pour explorer la profondeur du silence, de l’absence et de la résilience, tout en capturant la fragilité de l’amour face à la perte… J’y tente d’évoquer la renaissance des émotions, même dans les instants les plus obscurs.
Les gardiens de l’aube
De notre humanité commune
Au lieu d’un long billet de blog, je vous propose deux courts poèmes qui, pour moi, résument toute l’intensité du monde. Ces poèmes sont des fragments de mon âme, des éclats de lumière dans un univers souvent sombre.
