Port-au-Prince n’est plus seulement une ville, c’est un cimetière en mouvement, un théâtre où l’insécurité joue le premier rôle. Dans cette fresque de balles, de sang et de cendres, le quotidien se meurt, et l’espoir vacille sous le poids d’une organisation méthodique du chaos. Cette prose poétique est un cri, un miroir tendu à une réalité insoutenable, où chaque souffle est une résistance, et chaque silence, une trahison. Que le monde regarde, écoute, et enfin pleure avec Haïti.
L’amour dans les failles du silence
Un poème pour explorer la profondeur du silence, de l’absence et de la résilience, tout en capturant la fragilité de l’amour face à la perte… J’y tente d’évoquer la renaissance des émotions, même dans les instants les plus obscurs.
Les gardiens de l’aube
Trois ans de sang et de balles : Haïti sous le spectre de Jovenel
Trois ans après, nous nous souvenons des promesses brisées, des vies volées, des balles traîtresses, du sang versé. Nous pleurons avec une douleur sans fin. Nous portons le deuil d’un homme, d’un rêve assassiné en pleine nuit.
De notre humanité commune
Au lieu d’un long billet de blog, je vous propose deux courts poèmes qui, pour moi, résument toute l’intensité du monde. Ces poèmes sont des fragments de mon âme, des éclats de lumière dans un univers souvent sombre.