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Accueil Haïti

Non, je ne célébrerai pas le 220ème anniversaire de l’indépendance d’Haïti

Thélyson Orélien Par Thélyson Orélien
1 janvier 2024
dans Haïti
Temps de lecture: 9 minutes
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Par Thélyson Orélien

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Au seuil de ces 220 années d’indépendance, je me dresse, Haïtiens, non pas pour célébrer mais pour secouer notre conscience. Car comment fêter quand notre terre baigne dans le chaos de l’insécurité, le sang de nos frères et les larmes de nos enfants? Comment exulter quand la mauvaise gouvernance nous enchaîne plus sûrement que n’importe quelle domination étrangère ?

Nous avons échangé, ô ironie amère, l’esclavage des chaînes pour un esclavage auto-infligé, fait de corruption, d’ignorance et d’indifférence. Deux cent vingt ans de liberté ? Non. Deux cent vingt ans d’asservissement de l’haïtien par son propre frère, de dérive morale et sociale, de recul, alors que le monde avance.

L’appel à l’action

Je ne parlerai pas de fête mais d’appel à l’action. Il est temps de regarder autour de nous, de voir les ruines non seulement de nos villes mais de nos valeurs. Sommes-nous si aveugles pour ignorer que nous sommes devenus notre pire ennemi ? Nos aïeux se sont battus pour une liberté, une dignité, un espoir que nous trahissons jour après jour.

Non, je ne célébrerai pas. Je pleurerai plutôt pour cette terre que j’aime tant, pour ces âmes perdues dans l’abîme de l’oubli. Mais après les larmes, que chacun de nous se lève. Levons-nous non pour une révolution armée, mais pour une révolution des cœurs et des esprits. Réclamons non pas la vengeance mais la justice, non pas la haine mais la solidarité, non pas l’illusion d’une grandeur passée mais la construction d’un avenir possible.

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Que ce 1er janvier 2024 soit un jour de recueillement, de repentance et de résolutions. Que chaque Haïtien, où qu’il soit, prenne un moment pour réfléchir à ce que nous avons été hier, à ce que nous sommes devenus aujourd’hui et surtout à ce que nous voulons être demain. Que ce jour marque non la célébration de la liberté obtenue mais l’engagement pour la liberté à conquérir.

Le siège de la Crête à Pierrot en 1802, par A. Raffet, gravure Hébert, 1839, WIKIMEDIA COMMONS

La construction d’un avenir meilleur

Frères et sœurs d’Haïti et de la diaspora, il n’est jamais trop tard pour changer le cours de notre histoire. Prenons en main notre destin, honorons la mémoire de ceux qui se sont battus pour nous, et travaillons, ensemble, à bâtir l’Haïti de demain. Une Haïti libre, juste et prospère, où chaque enfant pourra regarder l’avenir avec espoir, et non avec désespoir. Voilà le seul hommage digne de nos aïeux, la seule fête que vaut la peine de célébrer.

Continuons donc, chers compatriotes, à réinventer notre patrie. Poursuivons cet appel non pas dans les rues en tumulte, mais dans le calme et la détermination de nos actions quotidiennes. L’avenir d’Haïti repose sur l’éducation de nos enfants, sur la santé de nos villages, sur l’intégrité de nos dirigeants et sur la solidarité de chacun d’entre nous.

Il est impératif de transformer notre colère en courage, notre désespoir en détermination, et notre division en unité. Luttons contre l’insécurité non seulement avec des armes, mais avec des livres, des emplois et une justice équitable. Renforçons notre gouvernance non par des promesses vides, mais par des actions concrètes, transparentes et responsables.

À LIRE AUSSI : Haïti : l’emprise des groupes dominants sur une « économie de violence »

Nos villes ne doivent plus être des symboles de délabrement, mais des bastions d’espoir et d’innovation. Nos campagnes ne doivent plus refléter la désolation, mais devenir des terres de prospérité.

Ce 1er janvier 2024, engageons-nous dans une réflexion profonde et un renouveau d’action. Que chaque Haïtien, de la capitale aux coins les plus reculés, prenne part à ce renouveau. Parlons moins de ce que nous avons été et plus de ce que nous serons. Engageons-nous dans un dialogue constructif, dans un travail acharné, dans une fraternité retrouvée.

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L’héritage de nos ancêtres n’est pas une chaîne qui nous enchaîne au passé, mais un flambeau qui éclaire notre chemin vers l’avenir. Tenons ce flambeau haut et avançons ensemble vers une Haïti nouvelle, une Haïti où chaque citoyen trouvera sa place, une Haïti dont nous pourrons tous être fiers.

Alors, quand viendra le prochain anniversaire de notre indépendance, peut-être pourrons-nous réellement célébrer non pas ce que nous avons été, mais ce que nous sommes devenus. Une nation renouvelée, un peuple uni, un avenir riche de promesses. Voilà l’Haïti que nous devons bâtir, voilà le défi qui nous attend. Ensemble, faisons de ce rêve une réalité.

La Bataille de la Révolution Haïtienne, huile sur toile de Janvier Suchodolski, 1845, Musée de l’Armée polonaise, Varsovie. COMMONS.WIKIMEDIA

Un message clair aux dirigeants

À vous, dirigeants et politiciens d’Haïti, notre message est clair et sans ambages : votre indifférence et votre négligence envers la souffrance et les besoins de vos citoyens sont inacceptables et indignes de votre mandat. Vous avez été élus ou nommés pour servir, pour guider, pour protéger, mais vous avez failli à ces devoirs les plus fondamentaux.

Le bien-être et la sécurité de la population ne sont pas de simples options politiques, mais des obligations sacrées. Chaque jour de retard, chaque décision égoïste, chaque acte de corruption, ne fait qu’accentuer la misère, l’insécurité et la désespérance de ceux que vous êtes censés représenter.

Nous vous exhortons à vous élever au-dessus de vos intérêts personnels, partisans ou de groupe. Regardez autour de vous, voyez la réalité de ce peuple, votre peuple, souffrant, mais digne et assoiffé de changement. Il est temps de renverser le cours de l’incompétence et de l’irresponsabilité.

À LIRE AUSSI : Haïti-France : l’épineuse question de la dette

Nous demandons une gouvernance transparente, responsable et équitable. Une gouvernance qui favorise le dialogue social, qui œuvre pour la justice, qui bâtit des institutions solides et qui garantit la sécurité et la prospérité pour tous. Vous devez rendre des comptes, non seulement devant la loi mais surtout devant l’histoire et le peuple haïtien.

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Que ce message soit un rappel de votre devoir et un avertissement : le peuple haïtien est résilient et mérite mieux. Il est temps de mettre fin aux cycles de défaillances et d’agir avec l’honneur et la diligence que votre position exige. Le monde regarde, l’histoire jugera, et le peuple se souviendra. Que votre action ou votre inaction d’aujourd’hui détermine la manière dont vous serez perçus demain. Le temps des excuses est révolu, place à l’action véritable.

C’est la dernière bataille importante de la Révolution haïtienne. Et aussi la partie finale de la Révolution sous la direction de Jean Jacques Dessalines.
Les Héros de la Bataille de Vertières, au Sud du Cap Haitien à 5 minutes du centre ville –  »C’est la dernière bataille importante de la Révolution haïtienne. Et aussi la partie finale de la Révolution sous la direction de Jean Jacques Dessalines. »

Hommage aux Héros de l’Indépendance et vision d’avenir

En ce jour où nous honorons le 1er janvier 1804, nous rappelons les noms immortels de la Révolution Haïtienne: Jean-Jacques Dessalines, Toussaint Louverture, Henri Christophe, François Capois, Alexandre Pétion… Des géants sur les épaules desquels repose notre nation. Ces hommes ont forgé une Haïti libre, défiant le joug de l’oppression pour écrire un chapitre audacieux de dignité et de liberté humaine. Leurs esprits nous interpellent à travers les siècles, rappelant le prix du sang versé pour l’indépendance et l’autodétermination.

Il n’est pas question, aujourd’hui plus que jamais, de tolérer ceux qui, par leurs actions, détruisent l’héritage de ces pères fondateurs. Les forces obscures qui cherchent à diviser, à affaiblir et à terroriser notre peuple, qui se cachent derrière des masques, doivent être confrontées avec une détermination inébranlable et une volonté de fer. Leur règne de terreur doit cesser.

À LIRE AUSSI : Haïti : La ministre Emmelie Prophète, symbole de l’incompétence

Nous, descendants des braves, n’avons pas le droit de céder un pouce du terrain conquis par nos ancêtres. Le 1er janvier 1804 n’est pas seulement une date, mais un symbole puissant de résilience et d’espoir. C’est un rappel que rien n’est insurmontable quand une nation se tient unie, guidée par les principes de justice, de fraternité et de courage.

En ce jour commémoratif, que la détermination de Dessalines, l’intelligence de Toussaint, la force de Christophe, la bravoure de Capois et la vision de Pétion se reflètent en chacun de nous. Que leur héritage soit le flambeau qui éclaire notre chemin vers un avenir où la paix, la justice et la prospérité règnent en maîtres.

Pour Haïti et pour l’humanité, levons-nous, unis et résolus, avec zéro tolérance pour ceux qui veulent nous ramener dans les ombres de la peur et de la division. Le moment est venu de revendiquer notre place légitime dans le concert des nations, en tant que peuple libre, digne et intrépide. Que le 1er janvier 1804 résonne non seulement comme un souvenir mais comme un éternel appel à l’action.

Pour l’honneur, pour la justice, pour Haïti!


Déclaration d’indépendance de Haïti, par Jean-Jacques Dessalines, 1804

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Thélyson Orélien

Thélyson Orélien

Écrivain, chroniqueur et journaliste indépendant. Passionné par l'écriture, j'explore à travers ce blog divers sujets allant des chroniques et réflexions aux fictions et essais. Mon objectif est de partager des perspectives nouvelles, d'analyser des enjeux contemporains et de stimuler la pensée critique.

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Il arrive que certains lieux, en tombant, dévoilent ce que nous refusions de voir debout. La disparition de l’Hôtel Oloffson n’est pas qu’un fait divers architectural ou un simple incendie de plus dans un pays qui chancelle. C’est un symptôme. Le symptôme d’une époque où la mémoire s’efface plus vite que les braises ne refroidissent, où brûler devient une forme d’expression plus éloquente que construire. Ce n’est pas seulement une maison qui s’effondre : c’est une archive vivante, un théâtre du réel, un espace où s’écrivait à bas bruit l’histoire d’un pays complexe, qui se consume sans que l’on sache encore si c’est par indifférence, vengeance ou abandon.

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