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Accueil Littérature

Et moi, je préfère les chats…

Thélyson Orélien Par Thélyson Orélien
24 avril 2014
dans Littérature
Temps de lecture: 3 minutes
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Ce n’est pas que je n’apprécie pas les chiens. Au contraire, je les trouve charmants, aimables, et remarquablement altruistes. Ils semblent prédisposés à réagir avec une sensibilité immédiate à nos signaux émotionnels, capables même d’une empathie qui mérite tout l’amour que l’être humain peut offrir. Et pourtant, malgré toutes ces qualités, je préfère les chats.

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La raison fondamentale de ce choix réside dans une valeur que je chéris par-dessus tout dans toute relation : l’équilibre. Je ne parle pas ici d’une relation sacrificielle, où un dévouement à sens unique nourrirait une illusion de symétrie parfaite, mais d’un lien véritablement réciproque. Une interaction où chaque partie s’investit avec la même intensité, où l’affection, le respect, et l’attention sont mutuels.

Il est indéniable que l’amitié avec un chien est plus accessible. Leur affection inconditionnelle est un don spontané, offert sans aucune exigence préalable. Pour qu’un chien vous aime, il ne vous demande rien d’autre que de l’intégrer dans votre vie, et en retour, il vous offrira une source inépuisable de dévotion. Peu importe que vous l’ignoriez, l’enfermiez, ou même que vous le traitiez mal : un chien restera fidèle, remuant la queue, toujours heureux de vous revoir. Pour beaucoup, cette loyauté indéfectible est la plus grande vertu des chiens. Pour moi, toutefois, c’est aussi leur grande faiblesse.

Je ne souhaite pas ici dresser un réquisitoire contre les chiens ou les affubler d’adjectifs péjoratifs. Je les trouve adorables, et ils sont souvent bien plus dignes de confiance que bon nombre d’êtres humains. Leur présence apporte une affection incomparable, particulièrement précieuse pour ceux qui recherchent une émotion immédiate et inconditionnelle. Mais encore une fois, je préfère les chats.

Avec un chat, la relation ne peut jamais être décrite comme celle d’un maître et de son animal. Un chat vous force à réévaluer votre approche, à construire une relation sur des bases différentes. Son amitié se gagne, elle ne se donne pas aveuglément, et c’est précisément cette rareté qui la rend si précieuse à mes yeux.

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Le processus par lequel cette relation se développe est fascinant. Il est lent, progressif, et nécessite une patience attentive. Si l’harmonie est possible, alors des progrès subtils mais significatifs se dessinent. D’abord, vous l’observez; puis, si vous avez su vous montrer digne de sa confiance, il s’approchera de vous, courbant son dos et levant la queue pour vous saluer à sa manière. Si vous restez calme et réceptif, il finira par sauter sur vos genoux, comme par un acte de magie, et se laissera caresser tout en ronronnant doucement.

La nature inconditionnelle de l’amour d’un chien, qui donne sans jamais rien attendre en retour, est pour moi un signe de déséquilibre. J’aime autant donner que recevoir, et j’éprouve une profonde satisfaction à savoir que ce qui m’est offert est le fruit d’un mérite partagé.

Il y a quelque chose de particulièrement gratifiant dans le fait de voir ma compagne rentrer chez elle, accueillie par ses deux chats, « Ti-gris » et « Tite-chouette », avec une affection sincère, joyeuse, et pleinement acquise. C’est dans ces moments, entouré de cette atmosphère de tendresse tranquille, que je trouve l’inspiration pour écrire ces lignes. Ti-gris ronronne sur mes genoux, tandis que Tite-chouette dort paisiblement à mes pieds nus, et je me sens profondément en paix, reconnaissant de cette communion silencieuse et équilibrée qui me lie à ces êtres si particuliers.

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Thélyson Orélien

Thélyson Orélien

Écrivain, chroniqueur et journaliste indépendant. Passionné par l'écriture, j'explore à travers ce blog divers sujets allant des chroniques et réflexions aux fictions et essais. Mon objectif est de partager des perspectives nouvelles, d'analyser des enjeux contemporains et de stimuler la pensée critique.

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