Le pays dans la gorge. À celui, à celle qui porte le pays non sur son passeport, mais dans sa gorge, là où les mots s’étranglent en tentant de nommer l’indicible, là où l’amour, la colère et la mémoire tissent une langue plus vaste que la douleur, là où survivre devient un art, et parler, un acte de résistance.
