Hôtel Oloffson : « Il avait quelque chose de Tennessee… »

Dans une chronique intitulée « L’incendie de l’Oloffson : lorsque l’on tue les morts », l’écrivain Lyonel Trouillot commente avec distance – et une certaine ironie – la destruction de l’hôtel Oloffson à Port-au-Prince. Il y écrit : « Il avait quelque chose de Tennessee qui y avait séjourné ». Une phrase énigmatique qui sert de point de départ à cette réflexion sur la mémoire, l’élitisme, les silences choisis… et les corps qu’on oublie toujours.