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Accueil Chroniques

Le Québec, cette avalanche de cœur

Thélyson Orélien Par Thélyson Orélien
21 juillet 2025
dans Chroniques
Temps de lecture: 7 minutes
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Dans La Presse, j’ai publié un témoignage sincère sur le Québec, un hommage sans fard, un remerciement comme on en fait aux gens qu’on aime. Je croyais déposer une lettre dans une bouteille. Finalement, c’est toute une mer de lettres, de messages et de témoignages qui m’est revenue, comme une vague d’amour qui m’a un peu submergé. Pour ne pas dire : noyé d’émotion.
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Je ne sais pas si un texte peut changer le monde. Mais il arrive, parfois, qu’il change quelque chose chez soi. Comme une mèche intérieure qu’on allume sans trop savoir ce qui va brûler. Et puis, ça flambe. Doucement. Intensément.

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Dans La Presse, j’ai publié un témoignage sincère sur le Québec, un hommage sans fard, un remerciement comme on en fait aux gens qu’on aime. Je croyais déposer une lettre dans une bouteille. Finalement, c’est toute une mer de lettres, de messages et de témoignages qui m’est revenue, comme une vague d’amour qui m’a un peu submergé. Pour ne pas dire : noyé d’émotion.

Je ne m’attendais pas à ça. Du tout. Ce que j’ai reçu en retour, c’est plus qu’une réponse. C’est une accolade nationale. Un Québec en chandail de laine, qui m’a pris dans ses bras. D’un coup, je n’étais plus un simple chroniqueur d’origine haïtienne installé en Ontario. J’étais le gars à qui on disait : « Merci. Reviens-nous, t’es chez toi ici. »

Une pluie de mercis…

Je pourrais vous dire que j’ai reçu « quelques messages… » mais ce serait mentir. Ce que j’ai reçu, c’est une avalanche. Une tempête de gentillesse, un blizzard de bienveillance. Pas celui qui bloque les routes : celui qui réchauffe le cœur.

Julie, par exemple. Elle fêtait son anniversaire quand elle a lu mon texte. Elle m’a écrit que je lui avais fait le plus beau cadeau possible. Que mes mots avaient rempli son cœur. Et moi, de l’autre côté de l’écran, je lisais ça, les yeux un peu embués, comme un enfant qui découvre que le Père Noël existe peut-être encore, sous la forme d’un peuple.

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Patrick, lui, a promis de faire lire le texte à ses élèves. Rien de moins. Quand un enseignant québécois vous dit qu’il veut partager vos mots à sa classe, on ne parle plus seulement d’un compliment. On parle d’un pacte d’héritage.

Pierrette, une autre voix douce du Québec, m’a confié que mon texte l’avait profondément touchée. « Il fallait que je vous le dise… », a-t-elle écrit. Et c’est ça, la beauté : ce besoin de dire merci. Même quand on pourrait se contenter de sourire.

Tania, passionnée par la francisation, a vibré avec mes mots. Joanne aussi. Sabrina, ingénieure engagée à Polytechnique dans un groupe nommé Ingénieurs sans frontières, m’a tendu la main intellectuellement. Mario, Yvan… et tant d’autres. C’était comme si chaque région du Québec m’envoyait un message. Chacun dans son accent, chacun dans sa tendresse.

À LIRE AUSSI : Le Québec : un joyau culturel et naturel à célébrer

On m’a demandé si je comptais revenir vivre au Québec. J’ai souri. La vérité, c’est que je ne suis jamais très loin. Je suis à Ottawa, à quelques minutes de Gatineau. C’est presque un pré-quartier de Montréal si on plisse les yeux.

Je viens au Québec à chaque grande occasion. Pour la Saint-Jean, par exemple, j’étais sur les Plaines d’Abraham. Bon, l’orage a un peu gâché la fête. Le ciel avait visiblement une humeur de grêle. Mais ça ne m’a pas empêché de me retourner rapidement à Montréal, question de prolonger l’élan festif.

Et puis, j’ai eu la chance — que dis-je, le privilège — de découvrir ce pays dans le pays. J’ai vu Rimouski s’ouvrir au large, Trois-Rivières bruisser de poésie, Drummondville respirer sa culture, Trois-Pistoles me raconter ses histoires, Saint-Hyacinthe me murmurer ses mots, Chicoutimi me séduire dans sa blancheur, le Saguenay me surprendre, et bien sûr, Québec me prendre par la main comme une vieille amie. Quand on a vu tout ça, on a le droit d’en parler. Même si on a une adresse postale de l’autre côté de la rivière des Outaouais.

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Larmes, vertige et reconnaissance

À un moment donné, je l’avoue, j’ai versé quelques larmes. Pas les grosses, théâtrales. Non. Les petites, silencieuses. Celles qui arrivent sans prévenir, quand le trop-plein déborde. Ce trop-plein d’humanité qu’on reçoit, et qu’on ne sait plus où ranger.

J’ai écrit ce texte depuis avril, après un long passage aux États-Unis. Là-bas, j’ai rencontré des Haïtiens, mais aussi des Vénézuéliens, des Colombiens, des Congolais, des Cubains, des Syriens… dans un refuge pour migrants, un shelter, comme on dit là-bas, où le mot « espoir » s’écrivait avec des valises ouvertes et des silences épuisés. Tous marqués par l’enfer du Darién. Ces gens-là, je les ai écoutés me raconter l’horreur : les cadavres sur le chemin, les femmes et les hommes violés dans les forêts par des criminels qui tiennent les routes, les noyés emportés par les rivières en furie…

Et pendant que ces migrants fuient l’insoutenable, que l’humanité s’effondre au bord de chaque frontière, les autorités américaines — avec un calme presque cynique — ajoutent Haïti à leur liste des nations « avec des groupes criminels classés comme terroristes » qui terrorisent la population. Et malgré tout, ils menacent aujourd’hui d’expulser plus d’un demi-million d’Haïtiens. ICE – Immigration and Customs Enforcement a déjà commencé à en embarquer certains. C’est dans ce contexte de douleur et d’injustice que j’ai pensé au Québec, à cette partie du Canada que je connais le mieux. Voici d’où vient la sincérité de mon texte. Mis à part tout ce dont on peut se plaindre, je souhaite que ceux qui vivent ici réalisent toute la chance qu’ils ont.

À LIRE AUSSI : Le feu de la Saint-Jean ou la tendresse des braises québécoises

C’est que les mots, parfois, tombent juste. Ils font ce qu’on espère tous qu’ils fassent un jour : ils touchent. Ils traversent. Ils réveillent. Ils consolent. Ils parlent à d’autres cœurs. Et cette fois, j’ai senti qu’ils avaient vraiment fait ça. Pour de vrai. Ce n’est pas de l’orgueil. C’est de l’humilité. Un vertige intérieur. Cette douce chaleur qui monte au cœur quand on comprend qu’on a été utile. Qu’on a mis le doigt sur quelque chose que beaucoup ressentaient sans pouvoir l’exprimer. Et que, par un miracle de syntaxe, on l’a dit pour eux.

On pense souvent qu’écrire, c’est briller. C’est un peu vrai. Mais ce n’est pas le plus important. Écrire, c’est traduire. Traduire ce que d’autres ressentent en silence. Et quand les gens vous le rendent par des messages, des silences émus, des mercis bruyants ou des yeux brillants, on comprend que les mots ne sont pas faits pour flatter l’égo, mais pour caresser l’âme.

Un écrivain n’attend pas toujours d’être applaudi. Il ne court pas après ça. Mais quand ça arrive, et que c’est sincère… ça bouleverse. Ça renverse même. J’ai reçu des témoignages de Québécois de toutes les générations. Des jeunes, des moins jeunes. Des gens enracinés, des gens en mouvement. Tous m’ont dit, à leur manière : « Tu nous as compris. Tu nous as vus. Merci. »

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Le Québec, cette nation au cœur battant

J’ai toujours senti quelque chose d’unique dans le peuple québécois. Une façon de dire bonjour comme si c’était une étreinte. Une manière de rire avec les yeux. Une chaleur qui ne dépend pas de la météo.

C’est une nation qui doute, oui. Qui débat, qui se questionne. Mais qui aime aussi profondément. Qui peut, en une seule Saint-Jean-Baptiste, chanter sa langue, danser sa culture, et accueillir l’autre avec sincérité. C’est un peuple qui sacre avec style, qui râle avec amour, qui proteste en chantant. C’est beau à voir. Et encore plus beau à vivre.

Alors cette chronique, je l’écris comme une réponse à vos réponses. Une lettre d’amour en retour. Vous m’avez offert quelque chose de rare : l’impression d’avoir été compris, adopté, parfois même accueilli à bras ouverts.

Merci Julie. Merci Patrick. Merci Pierrette, Tania, Joanne, Sabrina, Mario, Yvan, et tous les autres dont je n’ai pas pu citer les noms, mais dont les mots sont venus me rejoindre droit au cœur. Merci à ce Québec multiple, ouvert, vibrant. Merci de m’avoir permis d’être utile, d’avoir touché juste, d’avoir existé autrement que par un code postal.

Je suis peut-être à Ottawa. Mais une partie de moi est restée chez vous. Chez nous.

Et ce texte dans La Presse, c’était peut-être une bouteille à la mer. Mais vous l’avez tous trouvée, ouverte… et vous y avez ajouté un message d’amour.

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Thélyson Orélien

Thélyson Orélien

Écrivain, chroniqueur et journaliste indépendant. Passionné par l'écriture, j'explore à travers ce blog divers sujets allant des chroniques et réflexions aux fictions et essais. Mon objectif est de partager des perspectives nouvelles, d'analyser des enjeux contemporains et de stimuler la pensée critique.

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