Les masques trompeurs du nationalisme
Un soir d’été à Port-au-Prince Il y a de cela plusieurs années, lors d’un été étouffant à Port-au-Prince, je me trouvais assis à l’ombre d’un amandier dans la cour arrière...
Paul, accablé par la maladie, décrit dans sa lettre comment la perception du temps se décompose en fragments désordonnés, mêlant passé, présent et futur. Il exprime sa lutte intérieure concernant la dignité humaine et la perte de repères. Malgré tout, il poursuit sa quête de sens face à une réalité de plus en plus absurde.