Le rayonnement des plumes québécoises
Les chansons qui nous tiennent debout
La Carte et le Territoire : quand la représentation devient une vie
Commencer Houellebecq, on le sait, c’est souvent entrer en turbulence. Or, surprise : La Carte et le Territoire, paru le 3 septembre 2010 chez Flammarion et couronné du Goncourt la même année, est un roman d’atterrissage doux, presque feutré — sans perdre sa lucidité. On y rit, on y pense, on y respire. Et on suit un artiste, Jed Martin, qui se construit une existence à force de représenter le monde sans jamais, ou presque, le peupler de gens. Un comble, et un programme.
Car dans 50 ans
René Depestre : une année pour un siècle !
Le Québec dans une épluchette de blé d’Inde
Le polar que je n’écrirai jamais (ou peut-être demain)
Isabel, le Québec et moi
Le mot « pantoute » comme philosophie
Je ne sais pas exactement quand j’ai entendu le mot pantoute pour la première fois. Probablement au coin d’un comptoir, quelque part entre un client et une caissière qui se parlaient comme on parle quand on se connaît depuis toujours, mais qu’on ne s’est jamais vraiment regardés.
