Dans La Presse, j’ai publié un témoignage sincère sur le Québec, un hommage sans fard, un remerciement comme on en fait aux gens qu’on aime. Je croyais déposer une lettre dans une bouteille. Finalement, c’est toute une mer de lettres, de messages et de témoignages qui m’est revenue, comme une vague d’amour qui m’a un peu submergé. Pour ne pas dire : noyé d’émotion.
L’oligarque corrompu
C’est un fait connu dans les hautes sphères de la moralité haïtienne : on naît avec un berceau en or ou on meurt dans une brouette. Entre les deux, il...
